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21 septembre 2023

Carolanne d'Astous Paquet - cdastous@medialo.ca

Une journée familiale au profit d’un refuge animalier matapédien

SAYABEC

annika landry

©Carolanne Allard Photographe

Annika Landry sollicite l’aide de la communauté pour implanter de nouveaux espaces de services animaliers.

Le centre communautaire de Sayabec se transformera en véritable centre d’amusement le dimanche 1er octobre prochain alors qu’une activité bénéfice servira à sauver encore plus d’animaux sans foyer.

Depuis plusieurs années, Annika Landry d’Albertville s’investit corps et âme pour la cause animale en sauvant les animaux abandonnés ou maltraités de La Matapédia et des environs. Devant la hausse des besoins et l’absence de ressources dans La Matapédia, la jeune mère de famille souhaite bâtir un nouveau refuge paisible pouvant accueillir des dizaines d’animaux domestiques sans foyer.

Un appel à la générosité

Dévouée et passionnée, Annika Landry vient en aide aux animaux en assumant la majeure partie des coûts nécessaires à leur bien-être. Heureusement, de bons samaritains lui viennent en aide à l’occasion, mais le défi principal demeure financier puisque les frais reliés à la construction du nouveau refuge s’élèvent à 272 000 $. Ces nouvelles installations, qui prendront place à Saint-Damase d’ici 2025, permettront d’offrir davantage de services spécialisés, d'améliorer ou de réparer des équipements, d’offrir des enclos plus spacieux en plus d’accueillir un plus grand nombre de réfugiés à poil.

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Pour réaliser son projet, Annika espère aller chercher la moitié du montant en dons et commandites. C’est pourquoi elle tiendra plusieurs événements bénéfices, à commencer par ce diner-bénéfice qui aura lieu le 1er octobre, de 10h à 16 h, au centre communautaire de Sayabec. « Il y aura trois jeux gonflables à l’intérieur de la salle communautaire. C’est un diner hot-dog et blé d’inde. Une machine à pop-corn sera sur place, on aura de la barbe à papa aussi. […] Le but c’est de couvrir les dépenses de l’activité et de faire des profits avec la vente qu’on va faire », explique l’instigatrice de l’activité familiale en invitant également les entreprises à donner pour la cause.

Une vocation

Questionnée sur les raisons de son dévouement pour la cause, l’amoureuse des animaux admet qu’il s’agit d’un besoin viscéral chez elle.« C’est plus fort que moi, je n’arrive pas à trouver pourquoi. Oui, ça représente énormément de temps et d’ouvrage, mais c’est gratifiant de faire une différence dans la vie de ces petits êtres. Cela m’apporte le sentiment de bien faire », exprime celle qui accueille en moyenne 400 réfugiés par année. « Présentement, j’ai une cinquantaine d’animaux comme pensionnaire. Ces animaux réussissent pratiquement tous à trouver une nouvelle famille », conclut-elle.

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